Bourses de fin de rédaction – Denis Saint-Jacques

Afin d’aider ses membres étudiant·es à terminer la rédaction de leur mémoire ou de leur thèse et à en faire le dépôt initial, le CRILCQ attribue des bourses de fin de rédaction.

Dates limites des trois concours de bourses de fin de rédaction

  • Hiver-Été 2024 : Dépôt de la demande de bourse le 8 janvier 2024. Dépôt initial du mémoire ou de la thèse le 9 septembre 2024.
  • Printemps 2024-Hiver 2025 : Dépôt de la demande de bourse le 6 mai 2024. Dépôt initial du mémoire ou de la thèse le 13 janvier 2025.
  • Automne 2024-Printemps 2025 : Dépôt de la demande de bourse le 9 septembre 2024. Dépôt initial du mémoire ou de la thèse le 5 mai 2025.

Critères d’admissibilité

  • Être membre étudiant·e du CRILCQ, c’est-à-dire être dirigé·e ou codirigé·e par un·e cochercheur·se du CRILCQ (voir la liste des membres sur le site web du CRILCQ) et être officiellement inscrit·e à titre de membre étudiant·e ;
  • S’engager à terminer la rédaction de son projet et à en faire le dépôt initial dans les temps prescrits (voir les dates de dépôt ci-dessous ou ci-dessus) ;
  • Ne pas être boursier·ère des grands organismes subventionnaires (CRSH, FRQSC, Mitacs, etc.) pendant la période couverte par la bourse;
  • Ne doit pas être récipiendaire des Bourses (de maîtrise ou de doctorat) Georg Stellari du Département des littératures de langue française (Université de Montréal) pendant la période couverte par la bourse.

Critères d’évaluation de la candidature

  • Qualité du dossier universitaire ;
  • Qualité et état d’avancement du projet ;
  • Expériences et qualité du dossier de réalisations.

Valeur de chaque bourse

  • 2 000 $ :
    • 1 000 $ versés au moment de l’obtention de la bourse ;
    • 1 000 $ si le dépôt initial est effectué dans les temps prescrits.
  • À ce montant s’ajoute une bourse de 295$ pour une retraite de rédaction Thèsez-vous?

Présentation du dossier de candidature

  • Une lettre (2 pages maximum) de l’étudiant·e qui situe la recherche et sa pertinence dans la programmation du CRILCQ, incluant le titre du projet, en plus de faire état :
    • de l’avancement de la rédaction ;
    • de la manière dont vous financez vos études supérieures (ressources personnelles, travail à l’université, travail à l’extérieur de l’université, bourses institutionnelles ou des grands organismes subventionnaires, etc.). Préciser les bourses ou contrats demandés ou obtenus ainsi que les montants.
  • Une lettre de recommandation du·de la directeur·rice de recherche cochercheur·se du CRILCQ, qui atteste de la qualité du projet et de l’imminence de son dépôt initial ;
  • Une copie de tous les relevés de notes universitaires (il n’est pas nécessaire de fournir les relevés de notes officiels) ;
  • Un curriculum vitæ (3 pages maximum).

Les dossiers de candidature doivent être remis par courriel en un seul document PDF à la coordination du Centre (annie.tanguay.1@umontreal.ca et moffet.charlotte@uqam.ca) avant la date limite du concours de bourses indiquée ci-dessus.

Toutes les bourses du CRILCQ sont attribuées par un jury.

Récipiendaires des concours précédents

Hiver-Été 2024 : Geneviève Bélisle (UQAM) pour son projet de doctorat intitulé « Vertiges : l’écriture dramatique comme territoire de rencontre entre Allochtones et Autochtones » (sous la direction de Yves Jubinville) ; Karolann St-Amand (Université de Montréal) pour son projet de thèse intitulé « Le théâtre expérimental montréalais : le cas de Carbone 14 (1980-2005) » (sous la codirection de Jean-Marc Larrue et Catherine Cyr) ; Ana Kancepolsky Teichmann (Université de Montréal) pour son projet de mémoire « La traduction d’œuvres littéraires autochtones du Québec vers l’espagnol » (sous la codirection de Barbara Agnese et Marie-Ève Bradette).

Automne 2023-Printemps 2024 : Julian Ballester (UQAM) pour son projet « Mon crâne, à sa manière d’heurter le sol, suivi de « Savoir mordre » : écrire la disparition de soi » (sous la cosupervision de Louis-Daniel Godin et Catherine Cyr) ; Catherine Parent (Université de Sherbrooke) pour son projet « Construction de la figure d’autrice : Analyse de la réception des écrits intimes de Claire Martin, Marie Uguay et Nelly Arcan » (sous la direction de Marie-Pier Luneau et Mylène Bédard).

Printemps 2023-Hiver 2024 : Frédéric Beaudry (Université de Sherbrooke) pour son projet de mémoire intitulé « La Mère compensatrice. Représentations de Marie de l’Incarnation de 1864 à nos jours » (sous la direction de Pierre Rajotte) ; Michaël Blais (Université de Montréal) pour son projet de thèse intitulé « Faire œuvre de mémoire : écritures de soi et de l’histoire dans quelques fictions narratives québécoises contemporaines (1995-2022) » (sous la direction de Martine-Emmanuelle Lapointe) ; Camille St-Georges (Université du Québec à Trois-Rivières) pour son projet « La figure du créateur et ses résonances mythologiques dans le théâtre de Carole Fréchette et de Larry Tremblay » (sous la direction de Hervé Guay).

Hiver-Été 2023 : Ridouania Si Allouch (Université de Montréal) pour son projet « La fin de vie et le deuil dans Finir en beauté de Mohamed El Khatib et Littoral de Wajdi Mouadwad; suivi de La madeleine de Mohamed » (sous la direction de Jean-Marc Larrue et Claire Legendre); Alexandre Rainville (Université de Sherbrooke) pour son projet « Prendre corps : Se saisir de la poésie de Jean-Paul Daoust pour écrire les possibles de quotidienneté queer » (sous la direction de Stéphane Martelly); Judith McMurray (UQAM) pour son projet « Représentation des adolescentes : analyse de trois films québécois réalisés par des femmes » (sous la direction de Stéfany Boisvert).

Automne 2022-Printemps 2023 : Camille Garant-Aubry (Université McGill) pour son projet « Pour les désespérés seulement : une résistance végétale », suivi de « L’herbier de mes mélancolies », (sous la direction de Laurance Ouellet Tremblay); Audrey-Ann Gascon (Université de Montréal) pour son projet « De l’intime au collectif : le sujet féminin écrivant et la communauté de femmes dans Journal intime de Nicole Brossard » (sous la direction de Martine-Emmanuelle Lapointe); Amélie Lantagne Mercier (Université Laval) pour son projet « Ces souvenirs sont-ils les miens ? La mémoire collective et individuelle du Refus global dans Une mémoire déchirée (1978) de Thérèse Renaud et La femme qui fuit (2015) d’Anaïs Barbeau-Lavalette » (sous la direction d’Andrée Mercier).

Printemps 2022-Hiver 2023 : Rosemarie Savignac (Université du Québec à Montréal) pour son projet de thèse intitulé « La maison pavillonnaire : subversion de l’imaginaire banlieusard dans la littérature québécoise contemporaine » (sous la direction de Lori Saint-Martin).

Hiver 2022-Été 2022 : Valérie Fiset-Sauvageau (Université de Sherbrooke) pour son projet de mémoire intitulé « Il était un futur (recueil), suivi de Réécritures féministes et contemporaines de contes merveilleux » (sous la direction de Nathalie Watteyne) et Gabrielle Marcoux (Université de Montréal) pour son projet de thèse intitulé « Modes de gestion et de représentation du territoire dans l’art autochtone actuel : Souverainetés territoriale, visuelle et mémorielle » (sous la direction de Louise Vigneault).

Automne 2021-Hiver 2022 : Kevin Lambert (Université de Montréal) pour son projet de thèse intitulé « Rater mieux. Réflexions sur le fantasme en création (Roland Barthes, Victor-Lévy Beaulieu, Marie-Claire Blais, Hélène Cixous) suivi de Que notre joie demeure (roman) » (sous la direction de Ginette Michaud et Catherine Mavrikakis); Victor Caron-Veilleux (Université du Québec à Montréal) pour son projet de mémoire lié à la genèse du roman À la mémoire d’un héros d’Andrée Maillet (sous la direction de Jacinthe Martel); Jonathan Girard (Université Laval) pour son projet de mémoire intitulé « L’imagerie familiale comme amorce à la fiction » (sous la direction de Julie Beaulieu et Sophie Létourneau); Francis Desruisseaux (Université McGill) pour son projet de mémoire intitulé « Matière Trouée, suivi de S’autothéoriser : imaginaire du corps dans Testo Junkie de Paul B. Preciado » (sous la direction de Laurance Ouellet Tremblay).

Hiver 2021-Été 2021 : Camille Néron (Université de Sherbrooke) pour son projet de thèse intitulé « Virginia Woolf et Anne Hébert : idéal et renouveau romanesque » (sous la direction de Nathalie Watteyne); René St-Pierre (Université du Québec à Montréal) pour son projet de mémoire sur les catalogues raisonnés numériques à travers les pratiques archivistiques et documentaires des quatre figures marquantes de la modernité québécoise que sont le sculpteur Armand Vaillancourt et les peintres Paul-Émile Borduas, Jean-Paul Riopelle et Marcel Barbeau (sous la direction de Dominic Hardy).

Automne 2020-Hiver 2021 : Josée Desforges (Université du Québec à Montréal) pour son projet de thèse intitulé « Remaniement de l’art officiel canadien sous la gouvernance de Stephen Harper : le recours à la substitution d’œuvres d’art pour une reconstruction de l’identité canadienne » (sous la direction de Dominic Hardy); John Harbour (Université Laval) pour son projet de mémoire intitulé « Regard sur l’œuvre de Raoul Barré (1874-1932) : l’influence de l’intermédialité et de la transfictionnalité sur ses techniques narratives » (sous la direction de Richard St-Gelais et Dominic Hardy).

Hiver 2020-Été 2020 : Amélia Fiset (Université Laval) pour son projet de mémoire intitulé « Requiem et les femmes, étude du rôle des femmes et des idées féministes dans la première revue de science-fiction et de fantastique au Québec » (sous la direction de Mylène Bédard et de Richard St-Gelais); Julie-Anne Godin-Laverdière (UQAM et York University) pour son projet de thèse intitulé « Étude des discours sur les censures et les controverses soulevées par l’exposition du nu à Montréal et à Toronto, 1945-1967 » (sous la direction de Dominic Hardy et d’Anna Hudson); Alex Noël (Université de Montréal et Université Laval) pour son projet de thèse intitulé « Les dépossessions romanesques : la dépossession comme condition humaine dans le roman moderne au Québec (Hébert, Roy, Ducharme) » (sous la direction d’Élisabeth Nardout-Lafarge et de François Dumont).

Automne 2019-Hiver 2020 : Marie-Ève Fafard (Université du Québec à Montréal) pour son projet de mémoire intitulé « Un baroque social : la poétique d’Hervé Bouchard » (sous la direction de Michel Lacroix); Catherine Fortin (Université du Québec à Montréal) pour son projet de mémoire en recherche création intitulé « La chienne de Pavlov suivi de L’abjection comme un joyeux sabbat » (sous la direction de Lori Saint-Martin); Sylvain Lavoie (Université Concordia) pour son projet de thèse intitulé  « Entre chien et loup : la (seconde) nature du théâtre au Québec » (sous la direction de Louis Patrick Leroux) et Rachel Nadon (Université de Montréal) pour son projet de thèse sur les rapports entre l’imaginaire social et la vie économique entre 1945 et 1999 au Québec (sous la direction de Martine-Emmanuelle Lapointe).

Automne 2018-Hiver 2019 : Marie-Charlotte Franco (Muséologie, médiation, patrimoine) pour son projet de thèse intitulé « Collecter et exposer : les cultures visuelles au Musée canadien de l’histoire et au musée McCord depuis les années 1990 » (sous la direction de Dominic Hardy); Alexis Ross (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Polémique et politique dans deux revues québécoises contemporaines : la conspiration dépressioniste et égards (2003-2013) » (sous la direction de Michel Lacroix); Lucille Ryckebusch (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Sur le pas de la porte suivi de Demeurer inconsolé.e » (sous la direction de Lori Saint-Martin).

Printemps 2018-Été 2018 : Marie-Rose Savard-Morand (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Gesamtkunstwerk de Dead Obies : posture, esthétique et poétique » (sous la direction de Chantal Savoie); Stéphanie Roussel (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Expériences poétiques des micros-libres de poésie : enjeux de lecture, enjeux de sociabilité » (sous la direction de Michel Lacroix); Andrée Boucher (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Cyclicité : relation mère-fille, subjectivité et deuil dans La femme de ma vie de Francine Noël et L’album multicolore de Louise Dupré » (sous la direction de Lori Saint-Martin).

Automne 2017- Hiver 2018 : Marie-Noëlle Huet (Département d’études littéraires) pour son projet de thèse intitulé « Maternité, identité et écriture : discours et écrits de mères dans la littérature française contemporaine » (sous la direction de Lori Saint-Martin); Julie-Anne Godin-Laverdière (Département d’histoire de l’art pour son projet de thèse intitulé « Censures et controverses : défier les conventions de la représentation artistique du corps nu à Montréal et à Toronto entre 1945 et 1967 » (sous la direction de Dominic Hardy); Virginie Fournier (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Étranges proses, tremblants désirs. Les enjeux de la mise en récit des désirs féminins dans Angéline de Montbrun de Laure Conan (1884) et Jane Eyre de Charlotte Brontë (1847) » (sous la direction de Chantal Savoie).

Hiver 2017-Été 2017 : Geneviève Antonius Boileau (École supérieure de théâtre) pour son projet de mémoire intitulé « Tradition de la présence anthropologique et politiques de création autogérée : un laboratoire collectif et interartistique avec le Théâtre de l’Odyssée » (sous la direction de Yves Jubinville); Karine Pietrantonio (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé : « (Ré)inventer le réel : l’appropriation du fait divers dans la littérature contemporaine » (sous la direction de Robert Dion); Valérie Synotte (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé : « Les femmes de Barbe bleue, toutes des menteuses ? La parole féminine, le secret et le mensonge dans La petite pièce en haut de l’escalier de Carole Fréchette et Les sangs d’Audrée Wilhelmy » (sous la direction de Lori Saint-Martin).

Automne 2016-Hiver 2017 : Soline Asselin (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Les dynamiques du combat dans la série Min kamp du Norvégien Karl Ove Knausgard » (sous la direction de Robert Dion); Nicolas Roland (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « La construction identitaire des personnages dans le texte dramatique Les morb(y)des de Sébastien David » (sous la direction de Lucie Robert); Rachel Boisclair (Département d’histoire de l’art) pour son projet de mémoire intitulé « Les impacts du contexte canadien de la Deuxième Guerre mondiale sur le fonctionnement et les orientations esthétiques de l’Art Association of Montreal (Musée des Beaux-arts de Montréal) » (sous la direction de Dominic Hardy).

2016 : Leandro de Oliveira Neris (Département d’études littéraires) pour son projet de thèse intitulé « Sémiotique et style : entre individuation et stylisation chez Jacques Ferron » (sous la direction de Dominique Garand) et Marie-Claude Garneau (École supérieure de théâtre) pour son projet de mémoire intitulé « Lieu(x) possible(s), poème dramatique, suivi d’une réflexion autopoïétique féministe » (sous la direction de Lori Saint-Martin et d’Angéla Konrad).

2015-2016 : Andréanne Charbonneau-Desfossés (Département d’histoire de l’art) pour son projet de mémoire intitulé « L’architecture des institutions de soins du XIXe siècle au Québec et le cas de l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu (1875-1890) de la Longue-Pointe des Soeurs de la Charité de Montréal (Soeurs de la Providence) » (sous la direction de Pierre-Édouard Latouche) et Kim Renaud-Venne (Département d’études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Les stratégies d’écriture dans la chick lit : le cas de Rafaële Germain » (sous la direction de Chantal Savoie).

2014-2015 : Jacinthe Blanchard-Pilon (Département d’Histoire de l’art) pour son projet de mémoire intitulé « Les chemins d’exil : représentation, circulation et influence des artistes non figuratifs du Québec dans les mondes de l’art entre 1955 et 1961 » (sous la direction de Dominic Hardy); Kristina Bergeron (Département d’Études littéraires) pour son projet de mémoire intitulé « Contes urbains et théâtre contemporains : pour une hybridité des genres chez Anne-Marie Olivier » (sous la direction de Lucie Robert); Véronique Gagnon (Département d’Histoire de l’art) pour son projet de mémoire intitulé « L’exposition collective comme outil d’une catégorisation : l’art autochtone contemporain au Québec entre 2008 et 2013 » (sous la direction de Dominic Hardy).

2013-2014 : Julie Bélisle (Département d’Histoire de l’art) pour son projet de thèse intitulé « L’emploi de la culture matérielle dans l’art contemporain : de la récupération au cannibalisme » (sous la direction de Laurier Lacroix); Nelly Duvicq (Département d’Études littéraires) pour son projet de thèse intitulé « Les écrits du Nunavik depuis 1959 : problématiques et conditions d’émergence d’une littérature inuit » (sous la direction de Daniel Chartier); Sandrine Martel-Laferrière (Département de Danse) pour son projet de mémoire intitulé « L’interprétation d’une gigue québécoise créée à partir de L’homme rapaillé de Gaston Miron » (sous la direction de Marie Beaulieu, en codirection avec Myriam Saad); Nancy Perron (Département d’Histoire de l’art) pour son projet de mémoire intitulé « Les expériences à la noirceur de Guido Molinari (1953-1954) : inscription d’une pratique au sein du discours sur le dessin et les états modifiés de consciences » (sous la direction de Dominic Hardy).